top of page

Article sur le concert du 25 février

Commentaires reçus pour le concert du 25 février 2024

A propos du duo Violoncelle et Guitare de A. Kobekina et G. Bianco le 25 février 2024

 

Je suis placé au premier rang, à 4 mètres des exécutants, tout content de vivre ce moment exceptionnel aussi bien au niveau musical qu’humain. Tant Gabriel Bianco que Anastasia Kobekina sont des êtres magnifiques, possédant leur instrument avec une aisance confondante mais aussi très simples, communicatifs, sans complexes et carrément chous. Avec ma voisine, on se dit que tant que des jeunes seront de cette qualité, il est possible de ne pas désespérer du monde !

 

C’est effectivement plein à craquer, au point qu’on installe du public derrière eux dans le chœur, dans les stalles et des chaises !

C’est un programme-surprise que les musiciens annoncent au fur et à mesure.

A part une seule (une fantaisie hongroise de Merz, pour guitare seule), je les connais toutes ! Des transcriptions habiles pour ces deux instruments, le violoncelle remplaçant souvent la voix :

 

Danse andalouse de Granados, les 7 chansons populaires espagnoles de de Falla (celles-là même que j’ai sur le CD avec Marina Viotti), un fandango de Boccherini au violoncelle seul (alors que l’original est pour guitare !), la fameuse 5è Bachiana Brasileira de Villa-Lobos, un extrait de l’histoire du tango de Piazzolla (« café 1930 ») au répertoire de Sébastien et André Fischer, un air de la Vie brève de de Falla, des variations de Paganini sur Rossini, sur une seule corde, et en bis une danse composée par le père de la violoncelliste, avec tambourin : Bianco le fait sur la table de sa guitare.

 

Celui-ci est aussi beau et sympa que sur les photos du disque, et surtout possède une netteté enveloppée de sonorité inouïe, une précision qui exclut le moindre glissement-crissement le long du manche, une variété de timbres et l’emploi d’un subtil vibrato qui magnifient ces pièces avec profondeur.  Je crois bien que c’est la plus belle guitare que j’aie entendue. Et un engagement total du corps et du visage, il est la musique qu’il joue.

 

Maigre et fine, mais d’une volonté farouche, la russe Anastasia Kobekina témoigne du même engagement, et s’avère désarmante de simplicité, presque petite fille, dans ses commentaires.

Pénétré d’admiration devant son instrument, ce Stradivarius de 1698 mis à disposition par la Fondation Habisreutinger : ce miracle qu’un objet aussi ancien puisse pareillement sonner à travers les siècles tout en supportant sans broncher le traitement souvent énergique de l’interprète. Et cette délicatesse dans des aigus très fins, car elle use des nuances avec par moments une transparence inattendue, effleurant juste sans avoir l’air d’y toucher

.

P.M. 26.2.2024

Commentaires reçus pour le concert du 5 novembre
Ensemble Swiss Chamber Soloists  Irene Abrigo violon  Jürg Dähler alto  Nicola Mosca violoncelle

Le concert a été un vrai régal, grâce à un trio de grande qualité! Et quelles découvertes! Les petits bijoux de D. Scarlatti et les œuvres de jeunesse de cher Ludwig... Je me réjouis déjà d'écouter les œuvres programmées pour 2024. Félicitations à toute l'équipe des TCL 

P.G.

Quel petit miracle que le concert de ce soir! J'avais d'abord été déçue par le changement de programme, mais je suis ravie des découvertes de ce soir. Merveilleux interprètes, belle alchimie et beaucoup d'intelligence dans le choix des œuvres et leur présentation. Bref beaucoup de plaisir

I.G.

Encore toute "illuminée" par ce magnifique concert, je vous dis ma reconnaissance! Grâce à vous nous profitons de grands bonheurs tout au long de l'année! Soyons conscients de ce privilège! Ce trio est exceptionnel, qualités techniques, complicité, et surtout cette JOIE de jouer .... tellement communicative!!J'aurai de la peine à m'endormir tant je suis encore"avec" eux!

E.N.

bottom of page